L’étape la plus importante pour l’acheteur dans une opération d’acquisition immobilière est le transfert de la propriété en son nom. Mais avant d’en arriver à ce point, il doit respecter toutes les conditions émises par le vendeur et surtout s’acquitter de l’obligation de payer le prix du bien. Il faut préciser qu’il existe plusieurs formes de transaction pour une telle opération. Quelles sont-elles et comment facilitent-elles la procédure d’acquisition à l’acheteur ? 

La localisation du bien immobilier

Avant de passer à la question de la transaction dans une procédure immobilière, il faut parler de la localisation du bien mis en vente et des professionnels auxquels il convient de faire appel. Par exemple, il faudra faire appel à un notaire à Saint-Cyr-Sur-Mer si la propriété voulue est localisée dans cette région.

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La situation géographique d’un bien immobilier influence grandement sa valeur financière. Elle permet de déterminer toutes les commodités disponibles dans la région. En prenant le parc immobilier de St-cyr comme point d’appui, les informations à y tirer sont :

  • qu’elle est rehaussée par la présence d’espaces verts très appréciés des familles ;
  • qu’elle dispose d’un centre-ville particulièrement animé. 

L’acquisition par achat classique

La première forme de transaction dans une procédure d’acquisition immobilière est l’achat classique. Généralement dans ce cas d’espèce, le propriétaire accepte de se départir du bien (maison, appartement, ou autres) à un acheteur moyennant une somme d’argent. 

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Il est à noter que le montant est proportionnel à la valeur du bien mis en vente. Cette forme de transaction est formalisée par un contrat de vente établi entre les deux parties et signé devant un notaire pour en authentifier le contenu. 

En outre, les deux parties ont la possibilité de réaliser cette transaction en faisant appel à des intermédiaires comme une agence immobilière ou un mandataire immobilier. Ces derniers, en pareil cas, mettent en place toutes les étapes de la procédure en :

  • estimant le bien ;
  • publiant une annonce de vente ;
  • organisant des visites.

Mais cette forme de transaction peut aussi se faire entre particuliers. Il suffit aux deux parties de s’entendre et de faire preuve de bonne foi.

La vente en viager

Elle est l’une des formes particulières en acquisition immobilière. Relativement fréquente, elle met en scène une personne âgée qui accepte de céder un bien immobilier à un acheteur en contrepartie d’un paiement initial. 

Ce paiement est appelé « bouquet » et représente un certain taux de la valeur totale du bien. Dès lors que le vendeur accepte ce premier versement, il revient à l’acheteur de lui payer chaque mois une rente viagère prévue dans le contrat. 

Lorsqu’après toute cette procédure, le vendeur continue de vivre dans le bien, la transaction est appelée viager occupé en opposition du viager libre. Il faut savoir que l’acheteur ne pourra entrer en possession de ses droits sur le bien qu’au décès du vendeur.   

La vente à réméré

Cette forme de transaction est rare en France et s’adresse principalement aux propriétaires ayant des difficultés financières. Elle leur permet de céder leur bien à un tiers moyennant une somme d’argent plus ou moins conséquente. La particularité de cette transaction, c’est qu’elle laisse la possibilité au propriétaire de racheter son bien dans les délais prévus par le contrat.